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CHRONIQUE / REVIEW

Ologram

La Mia Scia

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Releases information

Release date:

February 13, 2025

Format:

CD, Digital

Label:

From:

Self-released

Italie / Italy

Thomas Szirmay - March 2025

8,7

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Le bassiste Dario GIANNI a envoyé son deuxième album, et c'est une véritable affaire de famille avec Lorenzo à la guitare ainsi que le claviériste Roberto, en ajoutant le chanteur Fabio SPERANZA, et le batteur Giovanni SPADARA. L'invité Gabriele AGOSTA brille partout où ses ivoires sont jugées nécessaires, tandis que Mateo BLUNDO souligne son violon sur quelques pistes, laissant Raffaele SCHIAVO fournir des voix féminines sur la brève ouverture. Le titre se traduit par « Mon chemin » et un voyage digne qu'il sera, car j'ai profondément apprécié leur premier disque, « La Nebbia » !

Infusé d'une légère teinte nord-africaine qui donne crédit au titre, « Kasbah » souffle vers de l'avant avec des riffs rigoureux, l'orgue Crumar demeure un fabuleux clavier légendaire, imposant une impulsion rythmique cohésive, n'ayant pas peur de freiner aux intersections resserrées, pour ensuite reprendre l'accélération sur les avenues plus larges, la basse explosive comme un moteur en pleine turbo traction. Les guitares rythmiques sont en parfaite harmonie avec la batterie athlétique, une composition solide qui ne lâche pas prise.

Un loup hurlant introduit « La Luna Piena », ce qui n'est pas surprenant car cela signifie une pleine lune. L'atmosphère est rehaussée d'un éclat manifestement nocturne, des guitares frétillantes ciselées par une tranchée de basse audacieuse, un refrain répétitif qui lorgne vers les cieux avec révérence. Lorenzo dévoile un solo grésillant sur sa guitare électrique, avant que le groupe ne jaillisse pour une autre tournée autour de la lune.

Plutôt du côté lent et propulsé par une basse tourbillonnante, « Non Sarai » s'installe dans un mode plus romantique, ancré dans un tissage de phrasés de six cordes, et Fabio qui chante son histoire avec un soupçon de mélancolie. Suggérant un intervalle néo-classique, « Jacaranda » fait une embardée dans le territoire de la guitare acoustique, ornée de belles cordes (Matteo BLUNDO) et d'un mellotron céleste, alors que Fabio s’emporte une fois de plus dans son microphone, avec un piano enrichissant également au premier plan.

« Descent » est peut-être la composition la plus manifestement symphonique, dirigée par des violons tourbillonnants, des explosions de mellotron chorales et une souche mélodique essentielle, maintenue tout au long du parcours. La guitare électrique redéfinit les qualités thématiques à la perfection tandis que les claviers infectieux élèvent encore plus l'étendue cohésive. Rythmiquement, la basse et la batterie semblent assez satisfaites de garder la fondation pansue et de laisser les solistes brûler avec passion, une piste instrumentale meurtrière du plus haut niveau.

La chanson-titre propage un sentiment de « la belle vita » que surtout les Italiens peuvent maîtriser pleinement, indépendamment des différences tumultueuses entre les villes, les communes et la division Nord / Sud tout au long de la botte. L'esprit de vouloir rêver, aimer et chanter sont des traits inhérents trouvés partout de Milan à Syracuse, et cette piste évoque ce récit à fond. Il apparaît également comme étant sans effort, émouvant, sain et humain.

La piste finale est aussi la plus longue « 1997 », une composition archétypale du RPI, irrévocablement proche de la flamme élégante de groupes légendaires du passé tels que PFM ou Le Orme, et tutti quanti. Les paroles plutôt existentielles s'inspirent d'une combinaison d'événements, à savoir l'année de naissance du guitariste, ainsi que d'un film de John CARPENTER : « 1997 Escape from New York ».

Ces paroles chantées englobent les morceaux de cet album, comme une source d'inspiration pour persévérer et s'efforcer de vivre une vie meilleure, indépendamment des nombreuses difficultés que l'on pourrait rencontrer dans le « voyage » de notre existence. Les orchestrations massives du clavier, le rythme machinal, les phrasés de guitare entrelacés et les voix glorieuses se combinent pour estampiller cette piste ainsi que l'album entier avec un « Ben Fatto », bien fait !

PISTES / TRACKS

    1. 22.43 (1:00)
    2. Kasbah (4:30)
    3. Luna Piena (4:09)
    4. Non Sarai (4:52)
    5. Jacaranda (4:44)
    6. Descent (5:06)
    7. La Mia Scia (4:21)
    8. 1997 (6:45)

musiciens / musicians

Lorenzo GIANNI- Guitars
Fabio SPERANZA- Vocals
Dario GIANNI- Bass
Roberto GIANNI- Keyboards
Raffaele SCHIAVO- Voice
Giovanni SPADARO- Drums

Gabriele AGOSTA- Piano, keyboards
Mateo BLUNDO- Viola, violin

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