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CHRONIQUE / REVIEW

Daniel Tompkins

Ruins

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Releases information

Release date:

December 11, 2020

Format:

CD, Digital, Vinyl

Label:

From:

KScope

Royaume-Uni / UK

Marc Thibeault - January 2021

9,4

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Musicalement plus lourd. Voici un album intéressant: 'Ruins', de Daniel TOMPKINS, se veut un remix de son premier album (Castles, 2018). Mais les pièces ici ont étés rebaptisées et elles sont injectées de rage, d'adrénaline et/ou substances illicites qui 'boost' les originaux. Paul ORTIZ (CHIMPSPANNER) est le maitre d'œuvre derrière la transformation radicale des pièces et ça donne un bon résultat pour la majorité de l'album. On se rapproche plus de TESSERACT avec le style résultant de cette transformation.

“Wounded Wings” débute l'album avec force: c'est la pièce “Black The Sun” qui nous est présentée sous sa nouvelle mouture. La musique éthérée de l'original est ici changée pour un riff mordant mais tout aussi efficace. À noter la participation de PLINI à la guitare. J'avais mentionné RIVERSIDE et LONELY ROBOT lorsque j'ai fait la chronique du premier album et les références demeurent les mêmes mais c'est maintenant par rapport au style plus lourd des deux artistes mentionnés au lieu du côté doucereux. “Ruins” est la version 'pimpée' de la pièce “Castles”. Très Techno et avec une ligne de basse lourde, ça varie du sombre à un style plus agressif! Ça résulte en un Prog-Rock un peu Industriel. La pièce Techno et lourde nommée “Kiss” sur le premier album devient “Tyrant” et est probablement celle qui ressemble la plus à l'originale. Un beat un peu plus fort et lourd revampe la pièce, la rendant plus noire, plus Grunge. “Stains Of Betrayal” est une belle transformation de l'intense pièce “Cinders”: plus Rock, plus lourd, plus agressif. Il y a un sentiment d'urgence ressenti tout le long de la pièce.

La pièce “Saved”, avec son aura de mystère, est crinquée et devient “Empty Vows”: mordante et beaucoup plus rapide que l'originale, on ne peut s'empêcher de taper du pied en l'écoutant. Il y a une sensation de désespoir dans le chant de Daniel TOMPKINS. J'aime bien la transformation de la pièce “Limitless” à “Sweet The Tongue”: on a droit à un Prog-Rock intense et lourd et Mr. TOMPKINS s'égosille tant il pousse sa voix au max! Puissant! “A Dark Kind Of Angel” est une transformation de la jolie pièce “Telegraph”: le refrain ici ne m'accroche pas comparativement au reste de la pièce qui, elle, est plus sombre, plus lourde. Quoi que bonne, c'est, à mon goût, la pièce la moins forte du lot. “The Gift” est une nouveauté: avec la participation de Matt HEAFY (TRIVIUM) à la guitare, on a droit à une pièce qui complète bien le style du l'album. Avec un Prog-Rock un peu électro mais mordant à souhait, ça tire plus vers le Grunge que le Prog, 'growls' inclus.

Les pièces auraient pu garder leurs titres d'origine du premier album mais il semblait important de les renommer parce qu'elles étaient interprétées sous un autre style. Ceux qui ont aimé “Castles” pour son côté éthéré vont peut-être avoir un peu de difficulté à assimiler cet album. Ceux qui aiment TESSERACT et/ou Daniel TOMPKINS pour l'ensemble de son œuvre vont mordre à pleine dent dans cet album mus mais très bien fait! Essayez-le!

    1. Wounded Wings [05:53]
    2. Ruins [05:29]
    3. Tyrant [04:56]
    4. Stains Of Betrayal [04:52]
    5. Empty Vows [03:58]
    6. Sweet The Tongue [04:30]
    7. A Dark Kind Of Angel [04:38]
    8. The Gift [03:53]

PISTES / TRACKS

musiciens / musicians

Daniel TOMPKINS - Voice
Paul ORTIZ - Music

Guests
Plini - Guitar
Matt HEAFY (TRIVIUM) - Guitar

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